Pascal Dussert, responsable de la communication de la Société française de pharmacie clinique (SFPC) en France, a répondu aux questions des lecteurs de Toute la presse en français. Il revient notamment sur les bénéfices à tirer des essais cliniques réalisés dans le cadre de la Covid.
Au mois de novembre 2021, la SFCC, la Société française de pharmacie clinique en France, a lancé un appel pour faire réaliser des essais cliniques à l’échelle européenne. Les études cliniques peuvent en effet aider à améliorer les connaissances sur les médicaments et leurs effets sur la santé, ainsi que sur les modalités de prise en charge des patients, par exemple dans le cadre d’une maladie chronique, d’un diabète, ou d’un cancer.
« En France, il n’existe pas de structure dédiée à ce type d’essais cliniques, explique Pascal Dussert. C’est pour cela qu’il a été mis en place un comité scientifique de pharmacologie clinique au sein de la SFCC, qui rassemble des personnes expertes, des pharmaciens hospitaliers et des professionnels de santé. »
Ce comité est chargé de faire des propositions pour évaluer les essais cliniques lancés en France, et les faire valider par le comité scientifique de la SFCC, pour les mener à bien et les publier.
« Nous sommes allés voir les autres pays pour savoir ce qu’il y avait de commun, comment ils font, et nous avons décidé de faire une proposition à la Haute Autorité de santé, la HAS. Nous sommes en train de réfléchir à la meilleure façon de les faire réaliser en France. Il n’y a pas de raison qu’on ne le fasse pas, ce serait une reconnaissance internationale de la place de la pharmacie en France », assure Pascal Dussert.
« Les essais cliniques permettent de valider l’efficacité des médicaments avant de les commercialiser. Ils sont réalisés par des spécialistes qui sont à la pointe de leur discipline. La pharmacie est au chevet de la santé publique », explique Pascal Dussert.
Pour mener à bien les essais, les médecins et pharmaciens collaborent avec des chercheurs cliniciens. L’ensemble de ces chercheurs cliniciens sont membres d’un comité scientifique qui se réunit pour valider les protocoles qui vont être réalisés avec les patients.
« Les patients ont été sélectionnés sur des critères médicaux. Les critères médicaux sont établis par les médecins, qui ont eux-mêmes des critères médicaux et sont supervisés par le comité de pharmacologie clinique », précise Pascal Dussert.
Pour les personnes qui ont un diabète de type 1, par exemple, ils doivent être diabétiques, ce qui n’est pas forcément le cas de tous les patients.
« Le diabète de type 1 ne se guérit pas, c’est un handicap. Le diabète de type 1 est une maladie auto-immune, qui peut être traitée par des antidiabétiques. Le comité scientifique de la SFCC a retenu un certain nombre de critères médicaux, notamment le poids du patient. »
« Le diabète de type 1 est une maladie chronique, et les patients sont généralement suivis pendant 20 à 30 ans. C’est une maladie chronique, car ils doivent changer d’antidiabétiques régulièrement », précise Pascal Dussert.
Les essais cliniques permettent de voir si les patients qui ont une maladie chronique comme le diabète de type 1 répondent bien à des traitements spécifiques, ou si les patients ayant des antécédents familiaux de diabète ont un risque plus élevé de développer ce diabète.
« Ce sont des études très spécifiques, et qui sont réalisées avec un nombre limité de patients », explique Pascal Dussert.
Pour le diabète de type 1, le comité scientifique de la SFCC a retenu trois études cliniques sur des médicaments qui ont un impact sur le pancréas.
Les patients doivent mesurer leur glycémie plusieurs fois par jour. Les médecins doivent sélectionner les patients qui vont recevoir un traitement spécifique, ou un placebo ; ou les patients qui vont recevoir un traitement qui n’a pas d’effet sur leur taux de glycémie, et qui doit être arrêté.
Les chercheurs cliniciens font le choix de la molécule qui leur semble la plus prometteuse.
« On choisit une molécule en fonction de la littérature scientifique », explique Pascal Dussert.
Avec le diabète de type 1, les essais cliniques concernent les patients qui ont déjà eu des effets indésirables après avoir été traités avec un traitement spécifique. Les effets indésirables peuvent être liés au médicament, mais ils peuvent aussi être liés à la maladie.
« Le traitement des patients diabétiques de type 1, c’est une maladie chronique. C’est pour cela que ces traitements sont très spécifiques. C’est un problème de santé publique. C’est une maladie qui touche 10 millions de patients en France. C’est un problème de santé publique majeur », affirme Pascal Dussert.
Les essais cliniques permettent de voir si les patients qui ont une maladie chronique comme le diabète de type 1 répondent bien à des traitements spécifiques, ou si les patients qui ont des antécédents familiaux de diabète ont un risque plus élevé de développer ce diabète.
« Le diabète de type 1 est une maladie chronique, et les patients sont généralement suivis pendant 20 à 30 ans », explique Pascal Dussert.
Si les essais cliniques sont réalisés dans le cadre du Covid-19, c’est parce qu’il existe un certain nombre de médicaments qui pourraient être utiles pour lutter contre la Covid. « On sait qu’il existe des médicaments qui pourraient être utiles pour lutter contre la Covid-19. Il y a des travaux dans ce domaine qui sont en cours », précise Pascal Dussert.
« Pour l’instant, on est dans une période transitoire, pour voir si des médicaments sont utiles dans le cadre de la Covid », explique Pascal Dussert.
Selon Pascal Dussert, il n’y a pas de raison que les essais cliniques soient mis en place pour traiter la Covid, mais pour voir si des traitements sont utiles dans le cadre de la maladie.
« Il n’y a pas de raison que les essais cliniques soient mis en place pour traiter la Covid, mais pour voir si des traitements sont utiles dans le cadre de la maladie. Le but est de voir ce qui est bon pour les patients et ce qui n’est pas bon pour les patients. Mais je pense que c’est un sujet sur lequel nous pouvons nous pencher et faire des propositions », déclare Pascal Dussert.
Pour la SFCC, il s’agit de voir ce qui est bon pour les patients, ce qui est bon pour la santé publique, et ce qui est bon pour la pharmacologie clinique.
« C’est un sujet qui a été porté très fortement par la pharmacie clinique, qui a fait du lobbying pour avoir des essais cliniques », explique Pascal Dussert.
« Les essais cliniques sont une chance pour les patients qui ont une maladie chronique. Ils ont souvent des traitements spécifiques. Ils ont une maladie chronique, et ces traitements sont prescrits par des médecins. Les patients ont besoin de ces traitements pour leur santé », souligne Pascal Dussert.
Les patients ont besoin de ces traitements pour leur santé. », explique Pascal Dussert.
« Ils peuvent ainsi obtenir des données qui ne sont pas disponibles pour les traitements classiques. Ils pourront ainsi savoir ce qui est bon pour eux, ce qui n’est pas bon pour eux et ce qui n’est pas bon pour les autres. Ils auront donc une vision plus claire de leur traitement », ajoute Pascal Dussert.
« Nous sommes dans une période transitoire, pour voir si des médicaments sont utiles dans le cadre de la Covid », précise Pascal Dussert.
Il y a quelques mois, la SFCC a annoncé avoir lancé un appel à projet pour la réalisation d’essais cliniques concernant les traitements anti-cancéreux et les antibiotiques.
Ces projets sont en cours de finalisation.
« C’est important que les patients puissent avoir accès à ces traitements », estime Pascal Dussert.
Les essais cliniques permettent aux patients de voir s’ils répondent bien aux traitements qui leur sont prescrits.
« Ce sont des essais cliniques qui permettent de voir si les patients qui ont des maladies chroniques répondent bien à des traitements spécifiques, ou si les patients qui ont des antécédents familiaux de diabète ont un risque plus élevé de développer ce diabète », précise Pascal Dussert.
Les essais cliniques permettent de voir si les patients qui ont des maladies chroniques répondent bien à des traitements spécifiques, ou si les patients qui ont des antécédents familiaux de diabète ont un risque plus élevé de développer ce diabète.
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